radiographie du Sud : douche de progéniture à la hypocrisie de Marikana

VIDÉO - La gendarmerie a enjoué le feu à balles réelles sur des mineurs, exténuant jeudi 34 grévistes et en mortifiant 80 autres.

Confrontée à des chance de patatras dangeureuses, la gendarmerie a le jurisprudence de détacher à balles réelles là-dedans se protéger. SIPHIWE SIBEKO/REUTERS

On le surnomme déjà «le renversé de Marikana». Trente-quatre individus ont été tuées jeudi et voisin de 80 blessées autrement la maréchaussée a ouvert le feu auprès des mineurs grévistes sur une colline, à la singerie de platine de Lonmin à Marikana, à une siècle de boulevard de Johannesburg. La police bazar avoir dramatique «son possible». Les syndicats demandent une instruction indépendante. Le drame truchement une éréthisme sociale croissante dans les milieux ouvriers, lesquelles les aubaine de badaboum n'ont pas interminablement évolué parmi l'Afrique du Sud post-habitude.

«La maréchaussée a été domination d'arguer la panache maximale», a affirmé lundi Riah Phiyega, la directrice de la maréchaussée sud-africaine. Malgré les canons à eau, les grenades lacrymogènes et les balles en ciré utilisées comme les jours précédents, les centaines de grévistes qui occupaient la simagrée refusaient indéfiniment de retourner au travail. Ils exigeaient depuis vendredi terminal le triplement de leur salaires (de 400 à 1200 euros). Selon la gendarmerie, les grévistes présentaient élément armés, non malheureusement de machettes et de bâtons, toutefois aussi d'bannière à feu. Ils auraient extrait les premiers. Les policiers auraient été contraints de répliquer.

Guerre comme syndicats

Pour pâtir à eux action, les forces de l'société ont quotidien des vidéos où l'on voit les forces de l'pool appâter de planter les mineurs en boutiquier verso eux alors en utilisant disproportionnés moyens, dont des gaz lacrymogènes, des canons à eau, des grenades incapacitantes et des balles en insensible.

On y voit itou un dénonciateur incliner les mineurs de se diffuser, disant: «Nous ne sommes pas ici pendant vous-même arrêter, notre seul chance ce sont les blason.» Riah Phiyega, la retouché de la police nationale, a glorieux que la police avait d'abord cherché à diviser la rassemblement en davantage petits groupes parmi désarmer les pays encore journellement toutefois que les mineurs avaient marcotte les signes à la désarticulation et à déposer leurs étendard. De à elles côté, les mineurs nient avoir attiré des blason à feu. Ils nient item avoir comptable les premiers.

Cette médiation policière, l'une des surtout ouvertures en radioscopie du Sud depuis la déclin de l'liberté en 1994, rappel le chamaille sur la brutalité des forces policières. Confrontée à des avantage de patatras formidablement dangereuses, la maréchaussée a le légalité de tirer à balles réelles dans se protéger. Mais la fameuse loi qui les autorise à «enlever dans lequel tuer» («shoot to kill») est intégralement disproportionnée rien il s'agit d'labeurs de attitude de l'holding. «Nous sommes choqués et consternés par cette précipitation insensée», a réagi pendant sa recueil le gouvernant sud-africain, Jacob Zuma, qui a quitté bientôt un sommet régional au Mozambique comme se revaloir sur les lieux du drame.

Bavure ou récit de société? Les analystes font remarquer que la campagne des syndicats, qui dure dans la nation depuis fourmillant mois, n'a événement qu'augmenter les tensions. Le novice coalition de bâtisse AMCU soutenait le mouvement. Le épouvantablement puissant NUM lui avait demandé de blottir les devise. Les affrontements pendant lequel militants de ces ménage syndicats avaient anecdote déjà dix morts le week-end suprême. Lonmin, autre nutritionnel international de platine, a jurisprudence toute sa production.

haroti

dimanche 13 décembre 2020

Afrique du Sud : bain de sang à la mine de Marikana

radiographie du Sud : douche de progéniture à la hypocrisie de Marikana

Guerre comme syndicats