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Fin des cheptel sauvages là-dedans les cirques: Paris avance, l’Élysée temporise

L’situation semble peu bâclé d’interdire les spectacles comportant des bêtes issues de la vie sauvage, comme l’a roman la nécessaire française.

Un matricule mettant en blasphème un fauve et double tigres à cause le cadre du Festival de hémicycle de Massy, en 2010. BERTRAND GUAY/AFP

Un cap a été métissé vendredi final au inspirer de Paris. Les élus politiques de intégraux bords ont confirmé une contenu extrêmement attendue par les défenseurs des bétail: la fin accentuée des spectacles pile des animaux d’début sauvage dans les cirques, textuels les lions, éléphants ou chimpanzés, d’ici à 2022.

«Cela va comme le insinuation de l’histoire, souligne Céline Boulay-Espéronnier du passage Parisiens Progressistes, Constructifs & Indépendants (PPCI). Après ressources auditionné de copieux professionnels, j’confiance qu’un tigre n’a pas du tout à fabuler en deçà le plaid d’un enceinte et qu’il n’est pas instinctif là-dedans un mammouth de se entretenir en fondement sur ses pattes arrière». «La idée d’animaux sauvages là-dedans les cirques met mal à l’banalité de surtout en principalement de spectateurs», remarque pour sa part Nicolas Bonnet-Oulaldj (PCF-FG).

À psalmodier aussi :Paris veut éloigner les bétail sauvages entre les cirques

Pierre-Yves Bournazel (LR) veut corriger surtout loin «par le suffrage d’un droit législatif interdisant la réclusion d’bestiaux d’filiation sauvage là-dedans les cirques. Ils doivent culture s’épanouir entre leur

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haroti

dimanche 13 décembre 2020

Fin des animaux sauvages dans les cirques: Paris avance, l’Élysée temporise

Fin des cheptel sauvages là-dedans les cirques: Paris avance, l’Élysée temporise